Quand on désire quelque chose on est attiré que par ça (alors que le passionné ne VIT QUE pour ça!)
Mais désirer qualqu'un c'est être attiré par un corps-objet : c'est un désir soit physique, soit sexuel.
Lorsque l'on satisfait ou assouvi un désir, on obtient du plaisir.
Donc le plaisir résulte de l'accomplissement d'un désir.
Mais est-ce que le plaisir peut être partagé ? L'autre peut-il ressentir le même plaisir que moi ? Ou, au contraire, est-ce que le plaisir est quelque chose de profondément égoïste ?
Pour Rousseau le véritable plaisir dure tout le temps du désir et ne signifie pas l'accomplissement du désir c'est-à-dire la possession de son objet.
Ethymologiquement le desir signifie regretter l'absence de
On désir donc ce que l'on ne possède pas.
Le désir est l'expérience d'un manque, d'une privation qui produit une souffrance car le désir est une privation d'être puisque pour être il faudrait posséder cet objet que nous ne possédons justement pas.
Le désir est donc synonyme d'insatisfaction et de souffrance mais aussi de dépendance et de démesure.
Pour ne pas souffrir il faudrait donc ne pas désirer plus que ce que l'on ne peut obtenir.
Il faudrait désirer les choses que l'on peut posséder, désirer l'accessible pour que nos désirs ne nous fassent pas souffrir. Donc ce serait choisir ses désirs en fonction d'un jugement correct. Dans ce cas, peut-on encore considérer ça comme un désir, ou bien ça tiens de la volonté ?
Mais désirer qualqu'un c'est être attiré par un corps-objet : c'est un désir soit physique, soit sexuel.
Lorsque l'on satisfait ou assouvi un désir, on obtient du plaisir.
Donc le plaisir résulte de l'accomplissement d'un désir.
Mais est-ce que le plaisir peut être partagé ? L'autre peut-il ressentir le même plaisir que moi ? Ou, au contraire, est-ce que le plaisir est quelque chose de profondément égoïste ?
Pour Rousseau le véritable plaisir dure tout le temps du désir et ne signifie pas l'accomplissement du désir c'est-à-dire la possession de son objet.
Ethymologiquement le desir signifie regretter l'absence de
On désir donc ce que l'on ne possède pas.
Le désir est l'expérience d'un manque, d'une privation qui produit une souffrance car le désir est une privation d'être puisque pour être il faudrait posséder cet objet que nous ne possédons justement pas.
Le désir est donc synonyme d'insatisfaction et de souffrance mais aussi de dépendance et de démesure.
Pour ne pas souffrir il faudrait donc ne pas désirer plus que ce que l'on ne peut obtenir.
Il faudrait désirer les choses que l'on peut posséder, désirer l'accessible pour que nos désirs ne nous fassent pas souffrir. Donc ce serait choisir ses désirs en fonction d'un jugement correct. Dans ce cas, peut-on encore considérer ça comme un désir, ou bien ça tiens de la volonté ?